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vade retro, alzheimer! rubriques accueil animation bouffe bouquin ciné danse expo galeries gone jeux la life politique science et technologie séries théâtre voyages zique contact gone sur myspace strange stuff and funky things mexique - juillet 2008 par akodostef dans galeries le 7 juillet 2011 à 17:20 voir la galerie votre commentaire clafoutis aux cerises par akodostef dans bouffe le 11 juin 2009 à 08:48 c’est la saison des cerises, et comme ça ne dure pas franchement longtemps (de mi-mai à mi-juillet, en gros), autant en profiter! comme à l’époque où je me servais de mon blog, alzheimerpower , pour me rappeler des bonnes proportions à utiliser dans les plats que j’avais réussis, mais cette fois à la demande de jika, je vais poster ici ma version de la recette du clafoutis aux cerises très légèrement retouchée d’après celle que j’ai tirée du livre “ les clafoutis de christophe ” (du nom du pâtissier christophe felder ). ce clafoutis régalera de 4 à 6 personnes (bon, nous on se le mange normalement à deux, en deux repas, mais si vous, vous voulez partager…). le moule classique (idéal, si j’ose dire) pour le clafoutis est circulaire et a pour dimensions 26×18x5 cm, je vous recommande vivement de vous en procurer un pour cette recette; avec un moule différent, les proportions poseraient à peu près certainement problème. comptez à peu près 15mn pour la préparation du clafoutis, plus 40 minutes pour la cuisson. ingrédients: pour le moule: 50g de sucre 20g de beurre pour la préparation: 4 oeufs 110g de farine 90g de sucre 50cl de crème fraîche liquide 1/4l de lait 1 cuillérée à café de rhum brun 1 cuillérée à café de cointreau 1 sachet de sucre vanillé 1 pincée de sel 600g de cerises noires (pesées avec les noyaux) 1. lancer le préchauffage du four à 220° (thermostat 8) 2. fouetter les oeufs avec les 90g de sucre, le sucre vanillé, le sel et la farine. 3. ajouter le lait et la crème fraîche l’un après l’autre petit à petit, en fouettant assez énergiquement jusqu’à ne plus avoir de grumeau, puis verser le rhum et le cointreau. 4. beurrer le moule avec les 20g de beurre, à la main; puis verser le sucre dans le moule, et faire tourner le sucre dans le moule pour qu’il s’accroche au beurre. bien veiller à ce que les rebords, beurrés, reçoivent eux-aussi leur légère couche de sucre. a la fin, il reste toujours un peu de sucre qui ne peut plus s’accrocher nulle part, on le laisse au centre du plat. 5. dénoyauter les cerises. 6. déposer une couche de cerises au fond du moule : si tout va bien au niveau des proportions, toutes les cerises permettent de tapisser tout le fond du moule sans se chevaucher et sans laisser de trous importants entre elles. 7. verser la préparation sur les cerises. 8. faire cuire au four environ 40 minutes. et hop ! 40 minutes plus tard (enfin, un peu plus, le temps de laisser le clafoutis tiédir voire refroidir complètement), c’est prêt ! votre commentaire battlestar galactica par akodostef dans séries le 28 mai 2009 à 23:37 la première fois que j'ai sérieusement entendu parler de battlestar galactica, c'était par l'intermédiaire de jika, qui me disait que greg était fan (évidemment, si vous ne connaissez pas greg (ou si vous connaissez un greg, mais pas celui dont je parle), ni jika, cette phrase n'est pas très intéressante pour vous). jusque là pour moi, battlestar galactica, c'était la série de coffrets avec à chaque fois la blonde aux gros seins mise sur la couverture (cf mon montage ci-dessous, éloquent), une astuce racoleuse qui personnellement me fait plutôt considérer que le produit est mauvais puisqu'il a besoin de ce genre de packaging. l'un de mes amis étant néanmoins devenu une pub vivante pour la série après l'avoir vue, et suite à une partie du jeu de plateau (qui fera peut-être l'objet d'un prochain billet) je me suis finalement décidé à y jeter un oeil, bien que je ne sois pas du tout client de l'ambiance " space opera ". et il faut bien reconnaître que la série a, effectivement, des qualités: - le contexte d’une façon générale : la population humaine, qui est parvenue à maitriser le voyage spatial, a établi des colonies sur 12 planètes baptisées du nom des 12 signes du zodiaque, mais la terre paraît n’être plus qu’un mythe. la science humaine a engendré une race de machines humanoïdes, les cylons, qui se sont rebellés contre leurs maîtres mais ont fini par établir une trêve avec les humains à la condition que chacun reste de son côté de l’univers… sauf qu’après une quarantaine d’années de trêve, les cylons débarquent en force, prenant par surprise les humains dont ils ont pénétré par espionnage les systèmes de défense et anéantissant littéralement la quasi-totalité des colonies. n’ont pu échapper à la destruction massive qu’une poignée de survivants (50 000 !), embarqués à bord de vaisseaux croisant dans l’espace au moment de l’attaque… dont le fameux battlestar galactica, énorme mais ancien engin de guerre, mené par le charismatique commandant adama ( edward james olmos , l’ancien lieutenant castillo de miami vice !, et excellent dans ce nouveau rôle). l’humanité, réduite à un peuple de réfugiés, se retrouve traquée par des nuées de cylons décidés à éradiquer définitivement ces quelques survivants, et se retrouve donc contrainte à errer sans fin dans l’espace, avec à ses trousses des méchants qui la harcèlent et lui imposent une cadence et une vigilance éreintantes. une atmosphère subtile de suspicion plane aussi sur l’ensemble de la série, la confiance de chacun (y compris celle du spectateur) étant en permanence sur le fil vis-à-vis de certains personnages ambigus -attention le lien ci-contre contient un spoiler [spoiler](mention spéciale aux modèles sharon valerii, ex-humaine passée chez les cylons et cylon déclarée adoptée –difficilement- par les humains, et mon personnage préféré pour cette raison)[/spoiler], sans qu’on soit dans les retournements incessants et pénibles à la alias . - les personnages : la définition des personnages est globalement très réussie. quelques figures se détachent sur le devant de la scène, mais le nombre de seconds rôles est tel et leur importance si significative, que ceux avec qui j’ai abordé la question avaient tous des personnages favoris différents des miens : dans la richesse et la diversité des caractères, chacun a de quoi trouver son compte (et c’est ça l’important, private joke pour julien et jika). - l’esthétique : des costumes aux décors spatiaux, en passant par l’intérieur des vaisseaux, l’esthétique de la série est globalement très réussies. pas la moindre trace de kitsch à la star trek , on est dans une série sérieuse et les effets spéciaux sont crédibles et généralement invisibles malgré leur omniprésence, ce qui est pour moi une vraie qualité. le casting participe aussi de cette réussite : les acteurs apportent une touche de séduction appréciable que ce soit par leur charisme (le cdt adama et sa belle voix grave, par exemple), ou leur simple plastique, acteurs comme actrices étant tous notablement jolis sans que cela ne compense une interprétation déficiente comme c’est parfois le cas. - le générique : excellente idée d’inclure dans le dernier tiers du générique d’intro des flashs tirés de scènes qui apparaîtront au cours de l’épisode qui commence, sorte de teaser de dernière minute bien combiné à la musique, qui s’accélère alors et se fait tribale pour plonger le spectateur dans un état d’excitation bien pensé. ce même générique dont je viens de vanter les qualités va me servir de transition spleeeendide pour aborder à présent ce qui me déplaît dans la série : - la même intro pénible qui plante le décor en expliquant ce que sont les cylons est reprise systématiquement au début de chaque épisode. pour les dix premiers épisodes, je peux comprendre. la première saison, passe encore. mais ça dure toute la série !!! un conseil : gardez votre télécommande à portée de main quand vous lancez un épisode si vous ne voulez pas craquer. - le duo gaïus baltar / caprica six : ça s